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20 janvier 2007

Close to heaven est une adaptation jazz de

onjClose to heaven est une adaptation jazz de classiques de Led Zeppelin par l'orchestre national de jazz.
L'Orchestre national de jazz est un orchestre de jazz français créé en 1986 par Jack Lang, alors ministre de la Culture.Son premier chef fut François Jeanneau (saxophoniste et compositeur français).
Un “mini big band” fluide, virtuose, aventureux dans son orchestration ; des arrangements vifs, aux lignes pures et légères, se jouant du nombre réduit d’instruments pour proposer un éventail inouï de tessitures sonores raffinées ; une façon très scénographique de mettre en valeur une petite brigade de solistes de haut vol intervenant dans le discours collectif avec autorité et une grande liberté.

L'Orchestre National de Jazz c'est :
Vibraphone : Franck Tortiller également chef du big band actuellment ; Percussions, voix : Patrice Héral ; Contrebasse : Yves Torchinsky ; Saxophones : Éric Seva ; Batterie : David Pouradier Duteil ;Percussions : Vincent Limousin ; Trompette : Jean Gobinet ; Tuba et bugle : Michel Marre ; Trombone : Jean-Louis Pommier ; Claviers et samples : Xavier Garcia
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Close to Heaven
une singulière adaptation pour orchestre
de jazz de grands “incontournables”
de Led Zeppelin

Frank Tortiller dit:
Led Zeppelin Quatuor mythique des années soixante-dix, reconnu pour son sens de l’improvisation collective et la complexité de ses compositions,Led Zeppelin constitue l’un des groupes majeurs et les plus influents de l’histoire du rock. Jimmy Page, John Paul Jones, John Bonham et Robert Plant furent des créateurs hors normes dont la modernité de la musique reste encore inégalée.
Une envie presque vitale de jouer ensemble, les relations quasi fusionnelles entre les instruments, les concerts « work in progress », restent la marque de fabrique de Led Zeppelin. Sur scène - lieu d’expérimentation par excellence pour ces quatre musiciens - certains titres de leur répertoire se muaient en de véritables tableaux musicaux marqués par de longues plages d’improvisations, d’énergie créatrice et de poésie.Toute une génération s’identifia à ce phénomène dans une même idée de bouleversement musical et social.

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Quand la valse inspire un orchestre de jazz
Avec Sentimental trois-quatre, l'ONJ Franck Tortiller rend un merveilleux hommage à cette musique qui se danse en couple et dont la caractéristique
rythmique est la mesure à trois temps, la valse.
L'orchestre se réapproprie cette forme musicale populaire pour nous livrer un programme d'une grande unité où alternent compositions origina
les et relectures de classiques du musette : "Domino" de Louis Ferrari et Jacques Plante, "Douce joie" de Gus Viseur ou encore "Impasse des vertus"
de Tony Murena. Franck Tortiller qui signe la moitié des compositions, fait également la part belle à ses musiciens et complices en écriture.
Une ouverture qui nous fait voyager de la France ("Rue aux fromages" d'Eric Séva, arrangé par Jean Gobinet) au Mexique ("Danzo Oval" de
Vincent Limouzin et Gilles Selince), en passant par l'Asie ("Sarahoui" de Michel Marre).
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On pourrait s'attendre à une vulgaire musique d'ascenseur alors que dés les premières secondes d'écoute on se voit plonger dans un univers hors du commun. Ce n'est pas du jazz rock,  ce n'est pas du free jazz, c'est tout simplement nouveau. On redécouvre avec délice ces standards d'un dés plus grand groupe de l'histoire du rock. Sur scène, la claque est encore plus grande.  Le phénomène Frank Tortiller et son big band prennent la place de véritable tremplin pour une rencontre en harmonie du jazz et de Led Zep..


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